Sonnet d’espoir
Une rivière perfide coule au pays
La terre suinte, saturée de ce poison
Elle sue, elle pue les exhalaisons haïes
Son souffre schistique brunit l’horizon
Une coulé putride envahit nos villes
Entrainant un air irrespirable qui étouffe, qui écoeure
Pendant qu’une peste grossière s’évade de l’ile
Contamination de la langue qui pourrit les coeurs
Mais des âmes implacables veillent
Et le soleil sur la plaine malade apparait
Frappée de ses rayons la liberté se réveille
Les crapules prennent peur, l’espoir renait
L’appel passé du Chevalier résonne alors
Et la rivière se glace au bruit de notre accord
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